Briatore, Piquet, Renault, tout ça. Un délicat fumet d'égout. Pour le moment, rien n'est encore jugé, mais les présomptions de tricheries s'accumulent.
Tout cela me rappelle une citation d'Édouard Herriot, éminent homme politique, enfin d'une certaine façon d'entendre la politique, et fin gourmet: "la politique, c'est comme l'andouillette, ça doit sentir un peu la merde, mais pas trop".
Pour la F1, ce me semble un peu pareil. Un subtil fumet de scandale entretient l'intérêt. Un puissant remugle de sanie dégoute et détourne.
(G.E.)
mercredi 16 septembre 2009
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