Je fais partie de ceux que fatiguent les interruptions publicitaires lors de retransmissions et émissions télévisuelles. Certains les appellent des pauses publicitaires; je ne peux me résoudre à qualifier d'aussi neutre façon ce viol de mon ''espace cerveau disponible'', comme dirait Patrick Le Lay. Néanmoins, on peut esquisser une typologie du spectateur moyen en regardant de plus près ces intempestives, pour qui paie un abonnement au cable, plages promotionnelles.
-Finale de la Coupe Stanley, matraquage des produits suivants: Bierre-Junk Food-Bagnoles.
-Grands Prix, courses et essais: Bierre-Bagnoles-Viagra.
-Foot, championnat d'Europe: Bagnoles-Téléphonie, et notamment appels à l'étranger-Bierre.
J'aime bien la présence du Viagra pour les Grands Prix, et de la téléphonie pour le championnat d'Europe de foot. Mais c'est à la présence, massive, du Junk que l'on voie que le hockey est notre sport national.
(G.E.)
dimanche 22 juin 2008
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