Chaque semaine, "La presse" note les joueurs du Canadien.
Le bulletin du 22 mars portait le titre "Le Canadien au fond du baril", certes suivi d'un point d'interrogation.
L'équipe avait obtenu un pathétique point en trois pathétiques parties. Performance pathétique donc, ou au moins en dessous de la moyenne.
Pourtant, les notes des joueurs variaient de 8,3 -Maxim Lapierre- à 5,8 -Georges Laraque-.
Sur 10, pas sur 100.
Que devraient-ils faire pour mériter une note en dessous de la moyenne ?
Sur cette base, Henri-Paul Rousseau méritait sans doute au moins un 7,0 pour son dernier exercice à la tête de la Caisse.
Et les cadres d'AIG, loin de rembourser leur bonus, devraient exiger son augmentation.
(PM)
dimanche 29 mars 2009
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