Eric Gagné revient lancer la baballe à Québec "pour l'amour du baseball".
Pince sans rire, ou juste imbécile, il ajoute : "ce sport, c'est comme une drogue pour moi."
L'avis d'un expert si l'on en croit le sénateur Mitchell, même si la modestie de Gagné l'incite à "essaye(r) de tourner la page" de "cette histoire plate", surtout sans en parler: "je n'ai pas le contrôle de ce que les gens peuvent penser de moi."
"Je n'avais pas nécessairement la possibilité de me défendre, je ne pouvais pas me battre." Pourquoi ? Encore une carrière exemplaire détruite par la rumeur ?
Une fois de plus, Gagné se sous-estime : s'il s'était comporté différemment, les gens penseraient peut-être autrement à son sujet.
(PM)
dimanche 14 juin 2009
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