Avec une abnégation et un sens du sacrifice qui l'honorent, le Real de Madrid a décidé de démontrer une fois de plus, pour une dernière poignée de sceptiques, qu'une équipe pouvait être beaucoup moins que la somme de ses parties et que la réunion des meilleurs joueurs du monde enfanter une équipe médiocre.
Le fou de Dieu et le fou de lui s'entendront-ils ? Poser la question est déjà y répondre.
Tout le monde connaît déjà les péripéties de l'histoire : la valse des entraîneurs, les états d'âme, bientôt, du fou de lui, soudain nostalgique des gazons britanniques...
Pauvre Juan Carlos, pauvre Raoul, pauvres socios...
Les présidents du Real seraient-ils des agents à la solde du Barça ? Ou juste des partisans maximalistes de la relance économique par le déficit ?
(PM)
dimanche 14 juin 2009
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire