Le GP de Malaisie devait se courir en fin d'après-midi pour les besoins des diffuseurs TV européens.
Bien sûr, cela avait un inconvénient : c'est souvent en fin d'après-midi qu'il pleut -fort- en cette saison en Malaisie.
Bien petit prix climato-sportif à payer pour optimiser des retombées commerciales.
Certains pilotes au coeur mal accroché ou sans contrat publicitaire avec un lunettier en appréhendaient un second : ils n'aimaient pas conduire face au soleil couchant.
Du moins risquaient-ils peu d'être confrontés de manière simultanée aux deux problèmes.
La pluie l'a emporté sur le soleil. La course a dû être interrompue.
Belle réussite sportive, belle réussite commerciale.
L'incertitude de la F1 est aussi grande que celle du sport mais moins glorieuse.
(PM)
dimanche 5 avril 2009
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