20 ans après le mur de Berlin, il est grand temps que tombe -ou plutôt se relève ?- un autre rideau de fer : celui entre l'est et l'ouest.
Qu'enfin, pendant les séries, tout le monde puisse rencontrer tout le monde, dès le premier tour, qu'on n'ait plus à attendre la Coupe Stanley pour un affrontement entre l'est et l'ouest -quitte d'ailleurs à ne plus en avoir en coupe Stanley : pourquoi pas une série finale entre Detroit et San José ou Boston et Montréal ?-.
La géographie a bon dos : Detroit est beaucoup moins loin de Montréal que d'Anaheim, Chicago de Pittsburgh que Vancouver.
Ce serait même peut-être un moyen d'égaliser les chances : les équipes de l'ouest n'auraient plus le monopole des longs voyages et des décalages horaires.
A trop se répéter, les affrontements entre rivaux historiques des ligues majeures nord-américaines -baseball, basket ball, football américain... hockey...- finissent par radoter.
(PM)
samedi 11 avril 2009
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